From 1 - 10 / 20
  • Isoligne de la vitesse du vent

  • Le paramètre "vitesse moyenne du vent à 100 mètres d'altitude" a été reclassé de manière à mettre en avant les zones peu favorables à très favorables.

  • le gisement éolien en mer flottant correspond à l'interpolation des critères vent et bathymétrie : Vitesse du vent > 7 m.s-1 ET bathymétrie > 30m (façade Manche Atlantique) ou bathymétrie > 40m (Méditerranée) Critères mis à disposition par le Syndicat des Energies Renouvelables en 2007 et actualisé en octobre 2011.

  • Isoligne hauteur médiane de la houle

  • Les zones exclues liées à un critère technique ont été définies par le Cerema lors de l'étude d'identification des potentiels éoliens posés confiée par le MEDDE. Elles sont issues des reclassements :du vent, de la bathymétrie, de la houle cinquantennale, de la houle médiane, du marnage et des vitesses des courant.

  • le gisement éolien en mer posé correspond à l'interpolation des critères vent et bathymétrie : Vitesse du vent > 7 m.s-1 ET 0<bathymétrie<30m (façade Manche Atlantique) ou 0<bathymétrie<40m (Méditerranée) Critères mis à disposition par le Syndicat des Energies Renouvelables en 2007 et actualisé en octobre 2011.

  • Le gisement de vent sur un site est caractérisé par la moyenne de la vitesse du vent à 100 mètres d’altitude sur 10 ans de données de moyennes horaires. L’énergie éolienne produite peut être estimée à partir de la courbe de puissance des éoliennes et des données horaires de la vitesse du vent. Des vitesses de vents suffisamment élevées sont nécessaires pour un bon fonctionnement des machines (c’est-à-dire un fonctionnement à leur puissance nominale).

  • Les zones exclues liées à un critère technique ont été définies par le Cerema lors de l'étude d'identification des potentiels éoliens posés confiée par le MEDDE. Elles sont issues des reclassements :du vent, de la bathymétrie, de la houle cinquantennale, de la houle médiane, du marnage et des vitesses des courant.

  • Isoligne hauteur cinquentennale de la houle

  • Mission interministérielle (Intérieur, Agriculture, Ecologie) chargée d'analyser les conséquences du changement climatique dans les décennies à venir (2030-2050) sur l'aléa feux de forêts, l'extension probable des zones sensibles sur le territoire métropolitain et faire les propositions nécessaires pour permettre au gouvernement de préparer ces échéances. Pour répondre à cette demande, la mission a engagé un travail dans 4 directions : l'évolution des facteurs climatiques, la sensibilité de la végétation aux feux de forêt, les coûts et leurs évolutions pour en déduire les conséquences sur les politiques publiques de prévention et de lutte.