From 1 - 10 / 17
  • Communes de Charente éligibles au programme Petites Villes de Demain. Petites villes de demain vise à améliorer les conditions de vie des habitants des petites communes et des territoires alentour, en accompagnant les collectivités dans des trajectoires dynamiques et respectueuses de l’environnement. Le programme a pour objectif de donner aux élus des villes et leurs intercommunalités de moins de 20 000 habitants exerçant des fonctions de centralités les moyens de concrétiser leurs projets de territoire.

  • Communes de la Charente ayant procédé à la mise en conformité de leur adressage des voies et numéros d'immeubles via le SIG Départemental. L’Agence technique de la Charente (ATD16) accompagne les communes qui en ont fait le choix, sur la réalisation et la création de leur adresses en créant une Base Adresse Locale (BAL).

  • Un inventaire des herbiers de Zostera noltii Hornemann, 1832 est réalisé pour l’ensemble des estrans de la mer des Pertuis charentais à partir d’une synthèse des observations disponibles de 2006 à 2011. L’emprise géographique s’étend de l’estuaire du Lay à la baie de Marennes-Oléron et inclut les îles de Ré, d’Oléron et d’Aix. Sont contributrices les données issues des prospections DCE 2006, contrôles de surveillance DCE 2007 (sous l’égide d’Ifremer et des Agences de l’Eau Loire-Bretagne et Adour-Garonne), des cartographies 2010 et 2011 Natura 2000 réalisées par LIENSs, IODDE et Ré nature Environnement pour l’AAMP et d’une analyse des Orthophotos disponibles pour des sites anciennement prospectés par les gestionnaires de réserves naturelles de la LPO en Charente-Maritime. Les méthodes utilisées vont de l’analyse d’images du satellite SPOT (réalisée par BioLittoral et Géotransfert) à la photo-interprétation (réalisée par LIENSs) mais dans chacun des sites prospectés, des vérités terrain ont eu lieu (réalisées par LIENSs, IODDE, Ré Nature-Environnement) afin de dresser l’extension des herbiers par relevés GPS ou dGPS. Les plus grands herbiers de cet inventaire sont présentés par Auby et al. (2010a, b) dans le volume des annexes (p. 29 pour les Pertuis charentais y compris la baie de Marennes-Oléron, p.44 pour le Pertuis breton y compris l’île de Ré et p. 141 pour l’estuaire du Lay). Les informations cartographiques pour le Nord de l’île de Ré, la baie d’Yves, le Sud de l’île d’Aix et le Nord de l’île d’Oléron viennent en complément et permettent de dresser un inventaire probablement exhaustif de la présence des herbiers de Zostera noltii de nos jours pour l’ensemble de la mer des Pertuis charentais. Un inventaire similaire est dressé pour Zostera marina dont quelques populations subsistent de nos jours sur les estrans Sud et Ouest de l’île de Ré (Le Gall, 2005).

  • La distribution géographique des principaux gisements de mollusques comestibles des côtes de la Charente-Inférieure et du sud Vendée a été dressée en 1904 et 1907 par J. Guérin nommé aussi Guérin-Ganivet, préparateur au Muséum d’Histoire naturelles de Paris. L’iconographie est présentée sous forme de cartes dressées par A. Vaset (Guérin, 1904 ; Guérin-Ganivet, 1907). La carte de 1904 préalablement numérisée sur un support présent à la Médiathèque de La Rochelle a été digitalisée gisements par gisements afin d’extraire l’information spécifique. L’inventaire porte sur les gisements naturels et les structures d’élevage sur estrans (viviers, parcs, bouchots) ou à terre (claires) pour les espèces comestibles de l’époque. Sont répertoriées les gisements naturels disparus ou actifs, les viviers et claires d’engraissement et de verdissage de l’huître plate indigène Ostrea edulis Linné, 1758, les gisements naturels anciens ou récents, les viviers et claires pour l’huître introduite portugaise Crassostrea angulata Lamarck reconnue aujourd’hui comme étant similaire à l’huître creuse japonaise Crassostrea gigas (Thunberg, 1793) ; les moulières naturelles et bouchots à Mytilus edulis Linné, 1758 ainsi que les principaux gisements naturels du pétoncle Mimachlamys varia (Linné, 1758), de la palourde européenne Venerupis decussata (Linné, 1758), de la coque commune Cerastoderma edule (Linné, 1758) et de deux espèces de couteaux Ensis ensis (Linné, 1758) et Solen marginatus Pulteney, 1799. La reprise des informations des deux textes publiés (Guérin, 1904 ; Guérin-Ganivet, 1907) apporte des compléments sur la localisation de gisements naturels d’anomie Anomia ephippium Linné, 1758, de la lutraire Lutraria oblonga (Gmelin, 1791) et de la coquille St-Jacques Pecten maximus (Linné, 1758).

  • Zones biologiques théoriques calculées à partir de 2 variables physiques maillées : la bathymétrie (résolution 100m), et l'atténuation de la lumière dans la colonne d'eau (Kpar, résolution 250m). Côtes de France métropolitaine. Rapport IFREMER "Hamdi Anouar, Vasquez Mickael, Populus Jacques (2010). Cartographie des habitats physiques Eunis - Côtes de France. Convention IFREMER/AAMP n° 09/12177764/FY. http://archimer.ifremer.fr/doc/00026/13751/ "

  • Un inventaire des bancs de maerl, algues rouges marines Corallinacées à thalles calcifiés arbusculaires et non fixés, est réalisé dans les Pertuis Charentais grâce à la compilation de données historiques et de nouvelles observations sur la période 2006-2012. L’emprise géographique de l’inventaire englobe les Pertuis Breton, d’Antioche et de Maumusson, s’étend de l’estuaire du Lay au Nord à la baie de Marennes-Oléron au Sud et inclut les pourtours des îles de Ré, d’Oléron et d’Aix. Sont contributrices à cet inventaire, les prospections DCE 2006, les contrôles de surveillance DCE 2007 à 2012 sous l’égide d’Ifremer et des Agences de l’Eau Loire-Bretagne et Adour-Garonne, les prospections réalisées pour le Port Atlantique La Rochelle sur le site de dépôts de dragage du Lavardin de 2007 à 2012, les prospections 2007 FONSOLE d’Ifremer et les prospections d’Ifremer et du laboratoire LIENSs en vue de cartographier les stocks de crépidules en mer des Pertuis Charentais. S’ajoutent des prospections spécifiques réalisées en 2011 à bord du navire Estran par benne sur les fonds sédimentaires infralittoraux du Pertuis Breton et par cadrat en zone intertidale en 2012 sur les pourtours des îles de Ré, d’Oléron et le long des falaises d’Aytré. Le positionnement des stations de vérité terrain ont eu lieu par relevés GPS ou dGPS. Repéré initialement par des prélèvements à la benne en octobre 2009 lors de la validation de prospections sonar pour individualiser les stocks de crépidules, un banc de maerl vif est cartographié en juillet 2011 en rade de Saint-Martin dans le Pertuis Breton. Sa superficie est estimée à plus de 2 km². Des prospections pedibus jambi réalisées à la pointe du Grouin et à Saint-Martin de Ré ont permis de confirmer la présence de maerl vif épars sur le bas des estrans. Cela suggère un éparpillement des thalles de maerl vif sur plusieurs dizaines de km² autour du banc principal de Saint-Martin. Est aussi confirmé l’unique relevé algologique de Phymatolithon calcareum fait au début du XXème siècle à Saint-Martin de Ré par Dollfus, probablement déjà en bas d’estran comme observé en 2012 à proximité de la balise du Couronneau. De très nombreux thalles de maerl mort en voie de diagénèse ont aussi été observés dans l’Est et le Sud-Est des Pertuis Breton et d’Antioche suggérant des apports par transports passifs issus de bancs vivants situés plus à l’Ouest, y compris dans le Pertuis d’Antioche. La présence de maerl vif sur le bas des estrans est en effet connue très ponctuellement dans l’Ouest des îles d’Oléron (Pointe de Chassiron) et de Ré (Phare des Baleines) via des relevés algologiques et faunistiques récents. Sur le plan biogéographique, le banc de maerl du Pertuis Breton est le plus oriental et le plus méridional de ceux connus dans le Golfe de Gascogne. Les bancs de maerl connus les plus proches sont respectivement situés à Noirmoutier (baie de Bourgneuf) et en Galice (Espagne). Ces observations complètent l’atlas cartographique des populations de maerl en Europe édité sous l’égide de la convention OSPAR. Elles apportent une base de connaissances pour les futures actions de conservation à définir localement dans le contexte Natura 2000 en mer du Parc Naturel Marin de l’estuaire de la Gironde et des Pertuis charentais.

  • Couche de points représentant les observations d'habitats vulnérables des fonds meubles des mers celtiques et du Golfe de Gascogne depuis le début du XXème siècle.

  • Couche de points représentant les observations d'habitats vulnérables des fonds durs des mers celtiques et du Golfe de Gascogne depuis le début du XXème siècle.

  • La distribution géographique des principaux gisements sauvages de l’huître creuse Crassostrea gigas (Thunberg, 1793) des côtes des Pertuis Charentais a été dressée de 2010 à 2012. L’inventaire porte sur les gisements naturels d’estrans (+ 6 à 0 m cote marine) et compile deux sources cartographiques : 1) les inventaires quantitatifs réalisés en 2010 par l’Ifremer depuis la Tranche sur Mer (Vendée) jusqu’à Vaux-sur-Mer en 21 sites représentatifs pour estimer les stocks sauvages d’huîtres creuses et 2) les inventaires cartographiques des habitats marins intertidaux réalisés principalement par LIENSs (en coopération avec CREOCEAN, IODDE, Ré Nature Environnement et GEO-Transfert) dans le cadre du projet CARTHAM Natura 2000 en mer de l’Agence des Aires Marines Protégées. Les méthodologies utilisées par Ifremer pour estimer les superficies colonisées combinent analyses thématiques sous Système d’Informations Géographiques (SIG) et validations terrain (Soletchnik et al., 2012). Les méthodologies utilisées par LIENSs pour estimer l’extension de l’habitat intertidal de l’huître creuse combinent analyses d’images aériennes, télédétection, validations terrain et analyses thématiques sous SIG (Cajeri et al., 2012).

  • Habitats physiques dans la typologie Eunis résultant du croisement de trois variables physiques maillées à la résolution de 100 mètres : nature du substrat, zone biologique, tension de cisaillement au fond. Côtes de France métropolitaine. Rapport Ifremer "Hamdi Anouar, Vasquez Mickael, Populus Jacques (2010). Cartographie des habitats physiques Eunis - Côtes de France. Convention Ifremer/AAMP n° 09/12177764/FY. http://archimer.ifremer.fr/doc/00026/13751/ "