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  • Ces données présentent les communes littorales en zone vulnérable à la pollution par les nitrates en 2007 et 2012. Les zones vulnérables aux nitrates découlent de l’application de la directive « nitrates » qui concerne la prévention et la réduction des nitrates d’origine agricole. Cette directive de 1991 oblige chaque État membre à délimiter des « zones vulnérables » où les eaux sont polluées ou susceptibles de l’être par les nitrates d’origine agricole.

  • La topographie de la plage sableuse du Truc Vert (Nouvelle-Aquitaine) est suivie par DGPS depuis 2005 pendant les marées basses de vives eaux en moyenne deux fois par mois. La longueur de plage couverte a augmenté au fur et à mesure des ans, de 300 m en 2005 jusqu'à 1500 m depuis 2012. Les données sont interpolées par krigeage avec anisotropie sur une grille de résolution de 20 m et 2 m respectivement dans la direction longitudinale et transversale à la côte.

  • Fichier présentant les données d'origine et la méthode de détermination des coûts inhérents à la mises en œuvre des mesures agro-environnementales pour l'année de référence 2014.

  • Sites surfaciques d’immersion autorisée en métropole.

  • Données présentant l'ensemble des communes classées au titre de la loi littorales (mer, estuaire, lac)

  • Données traitées par l'Observatoire National de la Mer et du Littoral sur les populations résidant à moins de 500 m d'une côte en érosion par département littoraux. Les résultats renseignent également sur les linéaires en érosion pour chaque département (en km).

  • Les hauteurs des vagues significatives (Hs) ont été simulées à l’aide du système de modélisation SCHISM (Zhang et al., 2016), implémenté sur les Pertuis Charentais tel que décrit dans Guérin et al., (2016) avec une résolution spatiale de l’ordre de 200 m à la côte. Dans cette configuration, le modèle de circulation hydrodynamique SCHISM est utilisé en 2DH et est entièrement couplé au modèle spectral de vagues WWMII (Roland et al., 2012). Le long de sa frontière ouverte, SCHISM est forcé par les amplitudes et phases des 18 principaux constituants de marée provenant du modèle régional de Bertin et al. (2012) et WWMII est forcé par une série temporelle de spectres directionnels provenant d’une application régionale du modèle d’état de mer WaveWatchIII. Pour les deux modèles, le forçage atmosphérique provient de la réanalyse atmosphérique CFSR (Saha et al., 2014). Le modèle calcule les paramètres moyens des vagues, comme par exemple, leur hauteur significative, qui est équivalente à la moyenne du tiers des vagues les plus hautes. L’estimation moyenne de l’année 2012 est choisie comme année représentative.

  • Données présentant les informations relatives aux déchets dangeureux produits par les activités industrielles

  • Ces données traitées par l'Observatoire National de la Mer et du Littoral présentent les surfaces de résidences principales (m²) suivant la distance à la mer par département littoraux en 2010. Les résultats renseignent également sur le nombre d'habitants et la surface complète des bandes côtières afin de permettre le calcul de densités. Les bandes côtières considérées sont : 0 à 500 m ; 500 à 1 000 m ; 1 000 à 2 000 m ; 2 000 à 5 000 m ; 5 000 à 10 000 m.

  • Les Modèles Numériques de Terrain (MNT) présentés ici correspondent au traitement des données topographiques acquises par levés DGPS avant la saison hivernale (généralement courant Novembre) et après la saison hivernale (généralement courant Avril). Ces données couvrent un linéaire côtier d'environ 700m centré sur la plage centrale de Biscarrosse (du Rond Point de la Nord jusqu'au Sud des Villas). Elles ont été acquises par l'OASU-Université de Bordeaux - UMR EPOC.