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  • Impacts de foudre air-sol du 01/01/2014 au 31/12/2014. Ces données sont issues d'un export depuis l'application Météorage permettant d'afficher et d'analyser les événements foudre en temps réel (impacts air-air et air sol). Pour cet export seul les impacts air/sol ont été retenus.

  • Aquitaine : zones de 1er appel

  • Les premières observations historiques de la crépidule Crepidula fornicata Linné, 1758 sur les petits fonds des Pertuis Charentais ont été cartographiées suite à un réexamen des résultats bruts obtenus par C. Hily lors de ses travaux de thèse de 3ème cycle sur l’écologie benthique des Pertuis Charentais. Les prélèvements ont été réalisés soit à la benne Smith McIntyre soit à la drague Rallier du Baty à bord du NO/Armorique de Concarneau en deux périodes, juin à août 1974 (432 prélèvements dont 330 quantitatifs) et avril 1975 (98 prélèvements dont 50 quantitatifs). Cette carte est issue de résultats inédits non référencés dans la thèse de C. Hily (1976) « Ecologie benthique des pertuis charentais». L’échantillonnage de l’ensemble de ces 528 prélèvements est limité à la zone infralittorale et circalittorale en excluant la zone intertidale. Cinq prélèvements quantitatifs à la benne Smith-McIntyre (dite « Aberdeen ») se révèlent contenir des crépidules vivantes entre 1 et 3 individus par benne de 0,1 m². Trois prélèvements qualitatifs par la drague Rallier du Baty se révèlent contenir chacun 1 crépidule vivante. Deux prélèvements quantitatifs contiennent des crépidules mortes, entre 1 et 5 par benne.

  • Les accès des plages de l'île de Ré et de l'île d'Oléron sont issus de levés GPS réalisés entre janvier et octobre 2009. En plus de leur localisation, ils permettent d'avoir, par exemple, l'existence ou non d'un parking, la longueur et la largeur d'accès, son accessibilité...

  • La répartition de l’herbier de Zostera noltii Hornemann, 1832 sur les estrans de la pointe d’Arcay côté estuaire du Lay a été cartographiée les 8 et 26 novembre 2010 à partir de relevés à marée basse fait par dGPS Trimble (GéoExplorer GeoXT 2005) de précision submétrique. Cette carte est présentée dans la synthèse réalisée par Auby et al. (2010a, b) dans le volume des annexes (p. 141-145) à propos de la répartition des angiospermes des côtes françaises Manche-Atlantique dans les masses d’eau suivies dans le cadre de la DCE. L’herbier se présente sous la forme de quatre grandes entités disjointes réparties le long des estrans, rive droite, du chenal du Lay. Chaque entité est située à proximité d’un ancien crochon dunaire dont la succession depuis deux siècles caractérise la progression vers le Sud-Est de la pointe d’Arcay. De petites tâches éparses d’herbier sont notées dès le premier crochon dunaire jusqu’à l’îlot vaseux situé au centre du chenal au droit du lieu dit Les Caves. L’herbier est apparu dense à très dense. La présence de moulières intertidales à Mytilus edulis sur vase et de bancs de crépidules Crepidula fornicata en chaînes éparses drossées à la côte a été notée. Ni Zostera marina ni sa forme naine Zostera marina angustifolia n’ont été observées en 2010 sur le site et leur présence est jugée improbable. Cette cartographie sur estran des herbiers vient compléter les cartographies de végétation terrestre disponibles pour la Réserve de chasse et de faune sauvage de la pointe d’Arcay.

  • Un inventaire exhaustif des écluses à poissons a été réalisé pour les estrans des îles de Ré et d’Oléron en 2012. La méthode utilisée est la digitalisation sous SIG de supports géographiques comme les SCAN-25 de l’IGN. Cet inventaire a été par la suite validé par des reconnaissances de terrain par l’association IODDE (J. Pigeot) pour les écluses oléronaises et par Ré-Nature-Environnement (P. Le Gall) pour les écluses rhétaises. Ainsi les écluses toujours en activité ont pu être différenciées des écluses non actives et disparues. Au début du XVIII ème siècle, l’île de Ré comptait 114 écluses ; aujourd’hui, seules 15 sont toujours en activité. De même, pour l’île d’Oléron : 117 écluses étaient comptabilisées au XVIII ème siècle pour seulement 17 en activité aujourd’hui.

  • Atmospheric deposition net and total in g/km²/ year PCB153, lead, lindane, mercury, cadmium in the marine subregions English Channel - North Sea, Western Mediterranean, Celtic Seas and Bay of Biscay. This data has been collected on the website of the EMEP program under the "initial phase" of the MSFD. Referent expert AAMP: Aurélie Blanck.

  • Aquitaine : Centres de secours

  • La distribution géographique des principaux gisements du pétoncle Chlamys varia L. aujourd’hui nommé Mimachlamys varia (Linné, 1758) a été dressée en 1951 par Letaconnoux & Audouin (1956) pour la région de La Rochelle englobant les Pertuis Breton et d’Antioche. L’inventaire porte sur les principaux gisements naturels de pétoncle du Pertuis Breton, du Pertuis d’Antioche jusqu’au Pertuis de Maumusson puis détaille les structures d’âge de deux populations issues du banc du Bûcheron et du banc de la Flotte dans le Pertuis Breton. L’analyse des conditions thermiques et salines en 1951-1952 permet aux auteurs de préciser le régime hydrologique propre aux bancs de pétoncle : marin (30 à 35 de salinité) et non perturbé par l’influence des eaux peu salées issues des panache fluviaux de la Sèvre et de la Charente, zone peu profonde au-dessus de l’isobathe des -15 m jusqu’à l’infralittoral exondable. Sont localisés treize bancs de pétoncle dont cinq dans le Pertuis Breton (en particulier les bancs du Bûcheron et de La Flotte qui sont les plus étendus), sept dans le Pertuis d’Antioche (situé le long des côtes de La Rochelle et d’Angoulin et à proximité de l’île d’Aix) et un au cœur du bassin de Marennes-Oléron (à proximité du banc de Lamouroux). La toponymie des gisements de pétoncle est issue des cartes IGN actuelles sauf pour les bancs du Bûcheron et de la Flotte clairement identifiés par Letaconnoux & Audouin (1956).

  • Aquitaine : groupements