Littoral ENvironnement et Sociétés (LIENSs) - UMR 7266 - CNRS
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Le drone marin PAMELi est né d'un besoin d’observations répétées, géolocalisées et simultanées de différentes disciplines, et de l’archivage et l’accessibilité dans le temps de ces différentes observations. Les premières missions ont été réalisées en juin 2020.
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Le marnage (TR) est la différence verticale entre les hauteurs consécutive d'une pleine mer et d'une basse mer. Les valeurs ont été simulées à l’aide du système de modélisation SCHISM (Zhang et al., 2016), implémenté sur les Pertuis Charentais tel que décrit dans Guérin et al., (2016) avec une résolution spatiale de l’ordre de 200 m à la côte. Dans cette configuration, le modèle de circulation hydrodynamique SCHISM est utilisé en 2DH et est entièrement couplé au modèle spectral de vagues WWMII (Roland et al., 2012). Le long de sa frontière ouverte, SCHISM est forcé par les amplitudes et phases des 18 principaux constituants de marée provenant du modèle régional de Bertin et al. (2012) et WWMII est forcé par une série temporelle de spectres directionnels provenant d’une application régionale du modèle d’état de mer WaveWatchIII. Pour les deux modèles, le forçage atmosphérique provient de la réanalyse atmosphérique CFSR (Saha et al., 2014). Le modèle permet de définir des marnages significatifs sur un large périmètre. L’estimation moyenne de l’année 2012 est choisie comme année représentative.
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Dans le cadre du projet CELHYSE, l'évolution de la dynamique des sédiments à longue échelle de temps (millénaire) est synthétisée par l'un des principaux résultats observable grâce à la sismique qui est l'incision des vallées. Modifiée d'après Chaumillon et al, (2008), cette carte met en évidence les vallées incisées (VI) de la Sèvre-Lay (Pertuis Breton); de la Charente (Pertuis d'Antioche); de la Seudre (Pertuis de Maumusson) et de la Gironde.
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Les hauteurs des vagues significatives (Hs) ont été simulées à l’aide du système de modélisation SCHISM (Zhang et al., 2016), implémenté sur les Pertuis Charentais tel que décrit dans Guérin et al., (2016) avec une résolution spatiale de l’ordre de 200 m à la côte. Dans cette configuration, le modèle de circulation hydrodynamique SCHISM est utilisé en 2DH et est entièrement couplé au modèle spectral de vagues WWMII (Roland et al., 2012). Le long de sa frontière ouverte, SCHISM est forcé par les amplitudes et phases des 18 principaux constituants de marée provenant du modèle régional de Bertin et al. (2012) et WWMII est forcé par une série temporelle de spectres directionnels provenant d’une application régionale du modèle d’état de mer WaveWatchIII. Pour les deux modèles, le forçage atmosphérique provient de la réanalyse atmosphérique CFSR (Saha et al., 2014). Le modèle calcule les paramètres moyens des vagues, comme par exemple, leur hauteur significative, qui est équivalente à la moyenne du tiers des vagues les plus hautes. L’estimation moyenne de l’année 2012 est choisie comme année représentative.
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Dans le cadre d'un suivi des évolutions morphologiques du littoral de Charente-Maritime, à la demande du CD17, une synthèse des évolutions des littoraux de l'île de Ré, de l'île d'Oléron et de la Presqu'île d'Arvert a été réalisée. Cette étude a été effectuée à court terme entre 2000 et 2016 et à long terme entre 1824 et 2016. Plusieurs traits de côtes ont été numérisés depuis 1824 jusqu'à 2016. Traits de côte numérisés d'après les images satellites de Google Satellite 2016. Numérisation par photo-interprétation basée sur des indicateurs du trait de côte: le pied de dune, la limite de végétation (lorsque la dune est absente) ou le sommet d'ouvrages de protection (enrochements, digue). Le trait de côte est discontinu puisque l'étude ne s’intéressait qu'à 37 plages réparties sur l'ensemble du littoral de Charente Maritime (île de Ré, île d'Oléron, Presqu’île d'Arvert et St Georges de Didonne dans l'estuaire de la Gironde) Les traits de côte on été numérisés sous Qgis en RGF93 CC46 (EPSG:3946).
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Dans le cadre d'un suivi des évolutions morphologiques du littoral de Charente-Maritime, à la demande du CD17, une synthèse des évolutions des littoraux de l'île de Ré, de l'île d'Oléron et de la Presqu'île d'Arvert a été réalisée. Cette étude a été effectuée à court terme entre 2000 et 2016 et à long terme entre 1824 et 2016. Plusieurs traits de côtes ont été numérisés depuis 1824 jusqu'à 2016. Traits de côte numérisés d'après les Ortho-Littorales v1 de 2000 puis la BD Ortho IGN de 2010. Numérisation par photo-interprétation basée sur des indicateurs du trait de côte: le pied de dune, la limite de végétation (lorsque la dune est absente) ou le sommet d'ouvrages de protection (enrochements, digues). Le trait de côte est discontinu puisque l'étude ne s’intéressait qu'à 37 réparties sur l'ensemble du littoral de Charente Maritime (île de Ré, île d'Oléron, Presqu’île d'Arvert et St Georges de Didonne dans l'estuaire de la Gironde) Les traits de côte on été numérisés sous ArcMap en RGF93 CC46 (EPSG:3946).
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Dans le cadre d'un suivi des évolutions morphologiques du littoral de Charente-Maritime, à la demande du CD17, une synthèse des évolutions des littoraux de l'île de Ré, de l'île d'Oléron et de la Presqu'île d'Arvert a été réalisée. Cette étude a été effectuée à court terme entre 2000 et 2016 et à long terme entre 1824 et 2016. Plusieurs traits de côtes ont été numérisés depuis 1824 jusqu'à 2016. Traits de côte numérisés d'après les cartes hydrographiques historiques des ingénieurs de l'époque (1872-1875) géoréférencées pour l'étude. Le trait de côte est discontinu puisque l'étude ne s’intéressait qu'à 37 plages réparties sur l'ensemble du littoral de Charente Maritime (île de Ré, île d'Oléron, Presqu’île d'Arvert et St Georges de Didonne dans l'estuaire de la Gironde). Le trait de côte a été défini comme la limite de bordure extérieure délimitant le continent et les îles sur les cartes historiques. Les traits de côte on été numérisés en sous ArcMap en RGF93 CC46
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Dans le cadre d'une étude sur l'évolution de la dynamique sédimentaire de la baie de l'Aiguillon plusieurs modèles numériques de terrain (MNT) ont été réalisés afin de quantifier les évolutions. Cette étude s'inscrit dans le cadre d'un stage de M2 (Blanloeil Jonathan) au LIENSs qui répond à un appel d'offre du PNR du Marais Poitevin (programme Life). Quatre MNT ont été réalisés à partir de données Lidar pour les années 200, 2010, 2013 et 2016.
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Dans le cadre d'un suivi des évolutions morphologiques du littoral de Charente-Maritime, à la demande du CD17, une synthèse des évolutions des littoraux de l'île de Ré, de l'île d'Oléron et de la Presqu'île d'Arvert a été réalisée. Cette étude a été effectuée à court terme entre 2000 et 2016 et à long terme entre 1824 et 2016. Plusieurs traits de côtes ont été numérisés depuis 1824 jusqu'à 2016. Traits de côte numérisés d'après des photos aériennes de 1945 puis de 1973. Numérisation par photo-interprétation basée sur des indicateurs du trait de côte: le pied de dune, la limite de végétation (lorsque la dune est absente) ou le sommet d'ouvrages de protection (enrochements, digues). Le trait de côte est discontinu puisque l'étude ne s’intéressait qu'à 37 plages réparties sur l'ensemble du littoral de Charente Maritime (île de Ré, île d'Oléron, Presqu’île d'Arvert et St Georges de Didonne dans l'estuaire de la Gironde). Les traits de côte on été numérisés sous ArcMap en RGF93 CC46 (EPSG:3946).
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Dans le cadre d'une étude sur l'évolution de la dynamique sédimentaire de la baie de l'Aiguillon plusieurs modèles numériques de terrain (MNT) ont été réalisés afin de quantifier les évolutions. Cette étude s'inscrit dans le cadre d'un stage de M2 (Blanloeil Jonathan) au LIENSs qui répond à un appel d'offre du PNR du Marais Poitevin (programme Life). Ce MNT a été réalisé à partir des données Lidar acquise le 17 septembre 2016 par Opsia . Les données ont été transmises sous format LAS par le PNR du Marais Poitevin. La méthode d'interpolation utilisée est le voisin naturel seulement sur les points classés sol à partir du logiciel ArcMap 10.4. Le nuage de point en entrée contient 600 M de points soit environ 5 à 10 points classifié sol par m2. Le MNT généré est au pas de 4m. L'altitude est en m NGF ( zéro hydro = -3.503 m NGF ). L’emprise couvre toute l'Anse de l'Aiguillon, sans le chenal principal (Sèvre Niortaise) qui requiert des données bathymétriques car il est en dessous du zéro hydrographique. Le système de coordonnées et de projection est RGF Lambert 93 (ESPG : 2154). La précision des données est estimée par le prestataire : écart-type max sur z : 5 cm.