L'orthophotographie de précision planimétrique de classe A (arrêté du 16 septembre 2003) et produit en RVB (couleurs : Rouge, Vert, Bleu) constitue la composante image du géostandard PCRS. Un PCRS constitue le socle commun topographique minimal de base décrivant à très grande échelle les limites apparentes de la voirie. Il est limité aux objets les plus utiles et n'aborde aucune des logiques "métiers" par ailleurs traitées chez les gestionnaires de réseaux. Le PCRS est destiné à servir de support topographique à un grand nombre d'applications requérant la meilleure précision possible. Il répond essentiellement aux exigences de la réglementation dite "anti-endommagement" ou réforme DT-DICT portant sur les travaux à proximité des réseaux, notamment sous la forme d'un fond de plan utilisable dans le cadre des échanges entre gestionnaires et exploitants. Conçu pour facilité les échanges entre les plans de type DAO et les SIG des collectivité et exploitants, les objets du PCRS gèrent peu d'attributs autres que ceux liés à la généalogie de leur acquisition, majoritairement par levé topographique.

L'orthophotographie de précision planimétrique de classe A (arrêté du 16 septembre 2003) et produit en RVB (couleurs : Rouge, Vert, Bleu) constitue la composante image du géostandard PCRS. Un PCRS constitue le socle commun topographique minimal de base décrivant à très grande échelle les limites apparentes de la voirie. Il est limité aux objets les plus utiles et n'aborde aucune des logiques "métiers" par ailleurs traitées chez les gestionnaires de réseaux. Le PCRS est destiné à servir de support topographique à un grand nombre d'applications requérant la meilleure précision possible. Il répond essentiellement aux exigences de la réglementation dite "anti-endommagement" ou réforme DT-DICT portant sur les travaux à proximité des réseaux, notamment sous la forme d'un fond de plan utilisable dans le cadre des échanges entre gestionnaires et exploitants. Conçu pour facilité les échanges entre les plans de type DAO et les SIG des collectivité et exploitants, les objets du PCRS gèrent peu d'attributs autres que ceux liés à la généalogie de leur acquisition, majoritairement par levé topographique.

L'orthophotographie de précision planimétrique de classe A (arrêté du 16 septembre 2003) et produit en RVB (couleurs : Rouge, Vert, Bleu) constitue la composante image du géostandard PCRS. Un PCRS constitue le socle commun topographique minimal de base décrivant à très grande échelle les limites apparentes de la voirie. Il est limité aux objets les plus utiles et n'aborde aucune des logiques "métiers" par ailleurs traitées chez les gestionnaires de réseaux. Le PCRS est destiné à servir de support topographique à un grand nombre d'applications requérant la meilleure précision possible. Il répond essentiellement aux exigences de la réglementation dite "anti-endommagement" ou réforme DT-DICT portant sur les travaux à proximité des réseaux, notamment sous la forme d'un fond de plan utilisable dans le cadre des échanges entre gestionnaires et exploitants. Conçu pour facilité les échanges entre les plans de type DAO et les SIG des collectivité et exploitants, les objets du PCRS gèrent peu d'attributs autres que ceux liés à la généalogie de leur acquisition, majoritairement par levé topographique.

Portion de voie de communication destinée aux automobiles, aux piétons, aux cycles ou aux animaux, homogène pour l'ensemble des attributs et des relations qui la concernent. Toutes les voies de communication destinées aux automobiles, aux piétons, aux cycles ou aux animaux, revêtues ou non revêtues sont incluses. Les voies publiques et privées ne sont distinguées d’aucune façon. Voir les différentes valeurs de l’attribut 'Nature'. La modélisation d’un tronçon routier se fait à l’axe de la chaussée (deux objets sont le plus souvent saisis pour les routes à chaussées séparées) et au sol. Pour les routes à chaussées séparées, les lignes saisies représentent l’axe de chaque chaussée, bande d’arrêt d’urgence incluse.

Espace peuplé d’arbres forestiers couvrant au moins 40 % du sol. Les jeunes plantations forestières, le reboisement naturel et les coupes à blanc sont également saisis en Nature="Bois". Les zones arborées de superficie comprise entre 500 et 5000 m², dont le couvert absolu est supérieur à 40 %, et avec des arbres atteignant une hauteur supérieure à 5 m (ou avec des arbres capables d’atteindre ces seuils in situ), sont systématiquement incluses. Les zones arborées de superficie comprise entre 80 et 500 m² peuvent être saisies mais de façon non exhaustive. Contour extérieur de la zone boisée, au bord du houppier. Un découpage et un recalage des zones boisées est effectué selon les principaux réseaux de la BD TOPO® à la date de production.

Ce jeu de données, composé d'objets ponctuels, localise l'emplacement des arbres vivants, des souches et des fosses d'arbres sur l'espace public. Ils sont entretenus et surveillés par les services gestionnaires compétents de Bordeaux Métropole et sont situés sur les espaces publics et les propriétés foncières des communes ayant mutualisé la compétence espaces verts. Ce jeu de données est composé 35 attributs et informe entre autre sur le nom du site, le statut de l'emplacement (vivant souche...), l'essence de l'arbre (famille genre espèce variété), son origine géographique, son âge approximatif, son diamètre, sa hauteur, sa circonférence, sa date de plantation si connue, la typologie du lieu (voirie, parcs, établissements scolaires, établissements sportifs...) sa durée de maintien, son architecture, etc.

Zone d'origine naturelle ou artificielle, temporaire ou permanente, couverte d'eau continentale de surface, douce ou salée ou couverte de glace persistante. Sont à représenter : - Les surfaces d’eau non coulante non souterraines de plus de 200m² ou longues de plus de 20m, tous les bassins des stations d’épuration ou de décantation, - les bassins ayant totalement perdu leur fonction (anciennes zones de marais salants ou de cultures ostréicoles), - les surfaces d’eau coulante non souterraines de plus de 5 m de large, - les zones intermittentes de plus de 20 m de large bordant un écoulement Les surfaces d’eau non coulante non souterraines de moins de 200 m² et longues de moins de 20 m peuvent être représentées en fonction de leur intérêt topographique sans rechercher à obtenir l’exhaustivité. La mer et l’océan ne sont pas saisis en surface hydrographique, la zone d’estran non plus. Des exceptions peuvent être faites au niveau des estuaires et des ports pour lesquels les surfaces hydrographiques peuvent dépasser la limite du tronçon de laisse des plus basses mers (Limite terre-mer de Niveau="Plus basses eaux") pour aller jusqu’à la limite de commune.

Ensemble de données concernant la circulation (comptages routiers, trafic...) sur le territoire de la Métropole. Ces données sont diffusées sur l'Opendata de Bordeaux Métropole

Ce jeu de données représente le domaine public non cadastré relatif à l'emprise des voies publiques telles que les rues, les places publiques, les routes nationales et départementales, les voies métropolitaines et les chemins ruraux sur le territoire de Bordeaux Métropole. Il découpe cet espace public sous forme d'objets surfaciques et indique leur domanialité et leur gestionnaire. Ce jeu de données peut être mis en relation avec la "Dénomination des voies de Bordeaux Métropole" (FV_VOIE_A)

Ensemble de données concernant les ouvrages des réseaux d'assainissement (RAEPA) sur le territoire de Bordeaux Métropole